Adam Sandler
Amsterdam dainos žodžiai
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui chantent
Les reves qui les hantent
Au large d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dorment
Comme des oriflammes
Le long des berges mornes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui meurent
Pleins de biere et de drames
Aux pre-mieres lueurs
Mais dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui naissent
Dans la chaleur epaisse
Des langueurs oceanes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui mangent
Sur des nappes trop blanches
Des poissons ruisselants
Ils vous montrent des dents
A croquer la fortune
A decroisser la lune
A bouffer des haubans
Et ca sent la morue
Jusque dans le coeur des frites
Que leurs grosses mains invitent
A revenir en plus cuit
Puis se levent en riant
Dans un bruit de tempete
Referment leur braguette
Et sortent en rotant
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dansent
En se frottant la panse
Sur la panse des femmes
Et ils tournent et il dansent
Comme des soleils craches
Dans le son dechire
D'un accordeon rance
Ils se tordent le cou
Pour mieux s'entendre rire
Jusqu'a ce que tout a coup
L'accor - deon expire
Alors le geste grave
Alors le regard fier
Ils ramenent leur Batave
Jusqu'en pleine lumiere
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui boivent
Et qui boivent et reboivent
Et qui reboivent encore
Ils boivent a la sante
Des putains d'Amsterdam
De Hambourg ou d'ailleurs
Enfin ils boivent aux dames
Qui leur donnent leur joli corps
Qui leur donnent leur vertu
Pour une piece en or
Et quand ils ont bien bu
Se plantent le nez au ciel
Se mouchent dans les etoiles
Et ils pissent comme je pleure
Sur les femmes infideles
Dans le port d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam.
Y a des marins qui chantent
Les reves qui les hantent
Au large d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dorment
Comme des oriflammes
Le long des berges mornes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui meurent
Pleins de biere et de drames
Aux pre-mieres lueurs
Mais dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui naissent
Dans la chaleur epaisse
Des langueurs oceanes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui mangent
Sur des nappes trop blanches
Des poissons ruisselants
Ils vous montrent des dents
A croquer la fortune
A decroisser la lune
A bouffer des haubans
Et ca sent la morue
Jusque dans le coeur des frites
Que leurs grosses mains invitent
A revenir en plus cuit
Puis se levent en riant
Dans un bruit de tempete
Referment leur braguette
Et sortent en rotant
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dansent
En se frottant la panse
Sur la panse des femmes
Et ils tournent et il dansent
Comme des soleils craches
Dans le son dechire
D'un accordeon rance
Ils se tordent le cou
Pour mieux s'entendre rire
Jusqu'a ce que tout a coup
L'accor - deon expire
Alors le geste grave
Alors le regard fier
Ils ramenent leur Batave
Jusqu'en pleine lumiere
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui boivent
Et qui boivent et reboivent
Et qui reboivent encore
Ils boivent a la sante
Des putains d'Amsterdam
De Hambourg ou d'ailleurs
Enfin ils boivent aux dames
Qui leur donnent leur joli corps
Qui leur donnent leur vertu
Pour une piece en or
Et quand ils ont bien bu
Se plantent le nez au ciel
Se mouchent dans les etoiles
Et ils pissent comme je pleure
Sur les femmes infideles
Dans le port d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam.