Adamo
Sans Domicile dainos žodžiai
Sans domicile
Paroles et Musique: Salvatore Adamo 1995 "La vie comme elle passe"
Elle a du vent dans la tźte
Et ses souvenirs qui s'envolent
C'est pour ēa qu'on la rejette
C'est pour ēa qu'on la dit folle
Alors elle parle aux oiseaux
Oł elle fait des ronds dans l'eau
Et des petites choses qui la retiennent
De se jeter dans la Seine
Elle a un trou dans le coeur
Et plein d'amour qui se perd
Elle aime tant la douleur
Un type qu'en a rien ą faire
Alors elle veut plus źtre belle
Elle veut plus rien źtre du tout
Elle dort entre deux poubelles
Tout prčs d'un chat qui s'en fout
Et puis
Y a tous ces trains
Qui partent au loin
Et puis
Y a le quotidien
Et tous ses liens
Et puis
Y a le temps qui file
Et puis
C'est plus facile
De s'inventer une īle
Sans domicile
Elle a du vent dans la tźte
Et son esprit qui s'étiole
Elle sait plus dans quelle tempźte
Elle a largué sa bousolle
C'est vrai qu'avec son ombrelle
Qu'elle ouvre mźme sous les ponts
On dirait une caravelle
échouée sur le béton
Elle regarde les autres paumés
Les naufragés de l'hiver
Mais c'est chacun de son cōté
Chacun pour soi en enfer
Elle veut rien savoir d'eux
Et surtout pas leur histoire
Elle veut pas s'voir dans leurs yeux
Elle a trop peur des miroirs
Et puis
Y a tous ces trains
Mais quel est l'sien
La vie
ą quoi ēa tient
ą presque rien
Suffit
Qu'on soit fragile
Suffit
Qu'on s'sente inutile
Et on s'perd dans la grand'ville
Sans domicile.
Paroles et Musique: Salvatore Adamo 1995 "La vie comme elle passe"
Elle a du vent dans la tźte
Et ses souvenirs qui s'envolent
C'est pour ēa qu'on la rejette
C'est pour ēa qu'on la dit folle
Alors elle parle aux oiseaux
Oł elle fait des ronds dans l'eau
Et des petites choses qui la retiennent
De se jeter dans la Seine
Elle a un trou dans le coeur
Et plein d'amour qui se perd
Elle aime tant la douleur
Un type qu'en a rien ą faire
Alors elle veut plus źtre belle
Elle veut plus rien źtre du tout
Elle dort entre deux poubelles
Tout prčs d'un chat qui s'en fout
Et puis
Y a tous ces trains
Qui partent au loin
Et puis
Y a le quotidien
Et tous ses liens
Et puis
Y a le temps qui file
Et puis
C'est plus facile
De s'inventer une īle
Sans domicile
Elle a du vent dans la tźte
Et son esprit qui s'étiole
Elle sait plus dans quelle tempźte
Elle a largué sa bousolle
C'est vrai qu'avec son ombrelle
Qu'elle ouvre mźme sous les ponts
On dirait une caravelle
échouée sur le béton
Elle regarde les autres paumés
Les naufragés de l'hiver
Mais c'est chacun de son cōté
Chacun pour soi en enfer
Elle veut rien savoir d'eux
Et surtout pas leur histoire
Elle veut pas s'voir dans leurs yeux
Elle a trop peur des miroirs
Et puis
Y a tous ces trains
Mais quel est l'sien
La vie
ą quoi ēa tient
ą presque rien
Suffit
Qu'on soit fragile
Suffit
Qu'on s'sente inutile
Et on s'perd dans la grand'ville
Sans domicile.
